La chaleur est revenue.
Comme l’an dernier, c’est depuis deux mois sans discontinuer que nos fronts, nos corps, nos âmes dégoulinent sous le soleil éclatant. Les gestes sont lourds, le regard vitreux et l’on cherche désespérément un peu de fraîcheur oubliée dans un parc, dans un musée ou dans le frigo…
Mais comme j’ai apprécié l’hiver très rigoureux de cette année, j’aime ce moment de chaleur estivale intense : pouvoir se gorger de pastèques en tenue légère tout en buvant du café glacé est une occupation à nulle autre pareille. Et l’absence de cette humidité qui colle à la peau dans les pics de chaleur en Inde et en Asie rend cette vague caniculaire européenne plutôt sympathique. Yeux bleus obligent, c’est plutôt la forte clarté qui me gêne vraiment, j’en viens à être tentée de porter mes lunettes de soleil à l’intérieur…
Mais si j’apprécie la chaleur, cela a un coût.
Musical, le coût.
Car chaque matin, alors que je m’extirpe d’un sommeil moite, la première chose qui me vient en tête c’est…
…« Dans la chaleur… de la nuit… le mal est toujours puni ! »
OUI.
Chaque matin.
Fille des années 1980 que je suis, le dessin animé Nicky Larson m’a laissé un souvenir prégnant quoique nébuleux de muscles et de poitrines saillants, de dérapages contrôlés, de Marconi [« Tu bluffes, Marconi ! »… ah non, je me trompe…] et d’un marteau gigantesque. En revanche, le souvenir du générique, lui, est intact : je peux encore le chanter sans me tromper une seule fois dans les paroles.
Et je sais que toi aussi.
P. S. : Un film doit sortir apparemment bientôt ? Faut-il avoir peur ?
P. S. 2 : Ceci est ma participation, toujours échevelée, à la Radio des Blogueurs 2018 !!! Et comme Nekonezumi a déjà participé, je ne peux que taguer Tambour Major et Des fraises dont l’oreille musicale légendaire ne peut que nous apporter du son, et du bon !
La radio des blogueurs me tuera.
alors puisqu'en plus de me ressortir les séquelles musicale de ta période pré nubile, tu me laisse me démerder pour retrouver les référence de la chanson, je t'apprendrai que Jean-Paul Césari qui interprète cette merveille de la chanson française était le chauffeur et l'un des choriste de Dorothé dans sa période AB Prod.
çà va faire causer à la machine a café glaçé ça.
merci
la bise
lolo
C'est malin, j'ai le générique de Cat's Eyes dans l'oreille maintenant... Ne me demande pas pourquoi.
En ferai-je ma chanson de l'été pour la radio des blogueurs ? Gniark gniark gniark...
Quand il fait chaud, c'est la chanson de Pauline Ester qui me vient en tête.
Je peux plus travailler
Peur d'avoir la peau brûlée
Rester sous sommeil
Sous la morsure du soleil
Il fait chaud...
Bon, y a plus qu'à. Ça tombe bien, j'étais à cours d'inspiration et tu m'as donné une excuse pour commettre un billet de blog. Gniark gniark gniar.
#bisousbarbus