Je suis une inconditionnelle de la signalétique.
A chaque voyage, à chaque balade, je note et photographie tous les panneaux que je vois. Ceux qui indiquent la proximité d’une école, et selon les pays c’est la petite fille qui est protégée par son frère ou la grande soeur qui emmène le garçonnet, cartable ou pas, marchant ou courant, ceux qui interdisent une circuler plus ou moins étonnante, carrioles et vendeurs à palanches, rickshaw et tracteurs, ceux qui alertent contre les avalanches ou les nuages de cendres volcaniques, ceux qui avertissent contre la traversée de chameaux ou de yacks, ceux enfin qui bannissent le durian et le chewing-gum de Singapour, et les talons hauts de la cathédrale de La Valette à Malte. Et j’ai même collectionné les panneaux culturellement identifiés, comme celui du Laos indiquant un passage piéton, avec une femme en sarong et chignon, ou celui de Taïwan annonçant des travaux avec l’ouvrier portant le chapeau conique (le dǒulì, 斗笠) traditionnel.
Mais jamais avant la Roumanie, je n’avais vu cela…
Je me suis donc interrogée.
A qui s’adressent réellement ces panneaux… Qu’ils soient à destination des maîtres ayant un chien, je le comprends. Après avoir vu une cliente tenant en laisse son chat dans la librairie du Bon Marché, je peux envisager la présence du félin.
Mais pour la souris/rat et l’oiseau, je suis sans réponse…
C'est parce que le type était incapable de schématiser correctement un ornithorynque domestique ?
On ne peut pas tout comprendre, c'est la seule que je sais 😉
J'aime aussi les panneaux qui sont plus ou moins détournés.
seule chose
Je corrige l'oubli...