Au haut de la colline aux mille temples, Palitana…
Le costume kaki des rickshawalla et la fine moustache de l’homme moderne. Le pantalon pattes d’éph’ de l’Inde, le bracelet et la montre étincelant aux poignets. Le cheveu noir et brillant qui encadre les traits droits des Indiens du Nord.
Le gulabwalla est campé au milieu des pétales de roses, et son regard proclame « life is not a bed of roses » . Peut-être les a-t-il ramassés par brassées au pied des autels alentours, parce que c’est son travail quotidien. Peut-être vient-il juste de les décortiquer, parce que c’est sa tâche journalière.
Ou alors… la pose, la main sur la hanche, le regard de défi…
Si Lou Reed attend son dealer d’héroïne à Harlem, peut-être un dealer de pétales de roses attend sa cliente à Palitana…
Et que cette cliente, c’est moi ?
J'y étais ! 🙂
@ Mao : ouiiiii (d'ailleurs j'ai une photo de toi juste à côté 🙂 ) !
(je suis la reine du commentaire constructif)
@ Mao : mais absolument ! Je te décerne une couronne, rose et à paillettes !!! 🙂
Il a l'air hyper romantique, en effet (pas constructif non plus :-D)
@ Nekonnezumi : le romantisme brandi à fleur de moustache ! 🙂
mais je la veux ! 🙂 (la photo)
@ MaO : je vais essayer d'y penser et te l'envoyer !!! Je n'en ai pas qu'une en plus, si je me souviens bien 🙂