Près de chez moi, un parmi tant d’autres, ce couple qui dort en plein jour, l’enfant protégée par les deux corps endormis. Le contact toujours, un pied, un genou, une main.
Près des voitures, dans l’indifférence générale, on ne peut rien y faire paraît-il.
Ce n’est pas ton fardeau, ce n’est pas ta cause.
L’Inde règle ses problèmes elle-même, et elle les règle bien semble-t-il.
Près de chez moi aussi, eux parmi tant d’autres, ces hommes qui dorment en plein jour, chacun protégé par les corps endormis. Le contact toujours, un pied, un genou, une main.
Près des voitures, dans l’indifférence générale, on ne peut rien y faire paraît-il.
Ce n’est pas ton fardeau, ce n’est pas ta cause.
La France règle ses problèmes elle-même, et elle les règle bien semble-t-il.
S’accommoder.
Sans doute le seul verbe que je ne conjuguerai jamais à la première personne du singulier.
Je ne comprennais pas... Je n'arrivais pas à situer les immeubles et le quartier dans Bombay sur la 2ème photo.
Pffff...
Hier j'ai lu un article - qu'il faudrait que je te scanne et que je t'envoie - dans lequel une chef d'entreprise disait qu'il faisait travailler des enfants (je ne sais pas si c'était en Inde, ce n'était pas précisé mais je l'imagine bien) mais que c'était pour leur bien et celui de leur famille car c'était souvent eux qui les faisait vivre.
Ca m'a fait tellement penser à toi et à nos conversations sur les justifications qu'on se donne face à la pauvreté et au reste dans ce pays.
S’accommoder ou aller voter et espérer des jours meilleurs...
J'en ai vue des expatriés OU touristes de longue durée de s'exprimer sur ce sujet (vu mon âge avancé selon les critères indiennes). Mais je trouve que ton œil sur l'Inde est plus juste ...critique objective...mature ....( j'arrête parce que je suis pas M. Journdain ! moi !)
peut être en DM.
Excuss pour les fautes Typos !!
Les 2 sont inacceptables ... et je ne suis pas sure que d'aller voter changera quelque chose.
Pour l'Inde je ne sais, mais je suis suffisamment vieux pour avoir connu la France sans SDF et qu'il n'y a rien de naturel ou de fatal à cela.