L’Islande c’est beau.
Et c’est d’autant plus magnifique que tu n’y es que de passage évidemment…
Mais si des conditions de vie très rudes 10 mois sur 12, pas tant le froid et les tempêtes de cendres que l’alcoolisme généralisé afférent, et l’isolement concret d’une densité moyenne de 3 hab./km² (avec certes un pic à 434 hab./km² à Reykjavik, yeaaaaah !!!) ne te font pas peur…
Mais si tu aimes l’homme celto-viking (pas grand et blond nécessairement puisque les Islandais ne sont pas des Scandinaves)…
Mais surtout si tu aimes la laine de mouton, si tu écoutes de la musique planante et si la nuit polaire te fait frétiller…
… voilà pour toi !
Quelque part avant Dyrhólaey…
N’adhérant qu’à trois des conditions requises (je n’aime pas l’homme celto-vilking et les Hautes-Alpes m’ont vaccinée à vie contre le pseudo isolement romantique, plus beau dans les fantasmes que dans la réalité), je vous laisse la place.
Même si j’avoue qu’une chose aurait pu me faire craquer…
Ah mais gouzi gouziiiiiii !!! HIIIII !!! Je peux te ramener en vrai, en laine ou en viande séchée ???
(0)Boah...
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Ben si mouton rime avec pognon, moi (dans un grand élan de romantisme) j'aurais tendance à dire : faut voir 😀
@ Nekkonezumi : vu les prix en Islande, oui mouton rime avec pognon je crois ! Sus à l'Islandais !!! (Sus j'ai dit, pas... non mais non mais haaaaan !!! 😉 )
maintenant que je le regarde mieux, je lui trouve un petit reflet orange des plus sympathiques.
@ Reinemère : le reflet orange, c'est ce qui fait toute la différence 😉
Tu aurais pu te dévouer!Rien que pour les moutons les pauvres, ils ont des carences affectives,il leur faut une mère!ah lala j'vous jure!
@ Zaneema : hihihi ! Oui, au moins pour les moutons : ils sont trop trop trop mignons en plus en Islande (moelleux, doux, puants 😉 ) !
en vrai ça prend de la place dans un appartement #monavis
@ K_narre : je reconnais bien là ton esprit pratique ! 😉
[…] Et si vous n’êtes pas sans savoir que je voue un culte aux moutons, par exemple ICI, ICI, ICI ou encore ICI, vous êtes pleinement conscients que je n’en aime pas moins les […]