De fil en aiguille, de chanson en chanson, d’amie en amies, de mémoire en projets, de petit-déjeune en bière (ratée), la journée fut très musicale.
Cela a commencé ce matin par :
Dingue, une version que j’ai seulement découverte récemment : pour moi, ces deux chansons c’est Hair, que je peux te chanter et danser de la première minute à la dernière… Quel jubilation de découvrir et chanter celle-ci ! « Ain’t got no home… I got my smile ! »…
Ce midi, l’ambiance est devenue plus osée, j’avais déjà perdu deux ou trois neurones dans les embouteillages ; il me fallait du cuir, du noir, du moulant. D’accord : du série Z de seconde zone. Absolument.
« Mais, y’a un mais » : ça, c’est vraiment tragique.
Et ce soir, je renoue avec le vrai et l’ultime B. Je repasse la voix cassée qui devient plus mâle avec les années, le look… étrange, la musique étrange aussi, jouant avec la justesse, la force et la fragilité. The Big B, the Only One :
Nécessairement, après ça, on ne peut que dormir comme une Moufette.
P. S. : oui, il y a eu une rupture d’espace-temps pendant la journée : à toi de trouver quand…
Mister B ahhhhhhhh! (Il est pas beau avec ses cheveux longs...)
@ Pivoine : je savais que tu saurais apprécier ! Effectivement, c'est la période cheveux longs et ça ne passe pas, non, pas du tout...
Ah Roméo et Juliette, c'est niais mais toujours aussi bon.
Et on ne parle pas de David Bowie, c'est culte.
@ Angie : et le pire, c'est quand tu te rends compte que tu connais les paroles par coeur... Mouahahahah !
Absolument, David B., on n'y touche pas !