[Je n’ai pas du tout eu le temps de venir vous lire cette semaine, j’en suis désolée : je me rattrape dès la semaine prochaine, et je vous souhaite en tout cas un très joyeux Noël !]

J’ai donc rencontré MaO. Quelque chose de fou, la première blogueuse que j’ai lue et osé commenter. Tellement fou que l’on s’est reconnues sans description préalable. Il faut dire que j’ai été fascinée par ses vidéos dignes des (Monthy Pythons ?) plus grands cinéastes de la Nouvelle Vague ouzbéko-tadjike. Au moins.

Celle qui a été catégorisée « Fête des Mères » et « Pâte à sel » par KiwiO. Celle dont la Pépette a plus d’un point commun avec moi (pauvre MaO, mouahahahahahah !). La Pasionaria de l’IPhone, qui mériterait de devenir l’ambassadrice d’Apple en France. Au moins.

Enfin et surtout, MaO, à l’origine de cette initiative culturelle sponsorisée par l’UNESCO, le grand conservatoire de la déchéance musicale, la « Worst Academy ».

MaO donc. De quoi a-t-on parlé ? C’est personnel ! Sache seulement que cela a duré plus de dix minutes et moins de 5h30. Que l’on a fait la fermeture. Et que l’Inde n’a pas été le dernier des sujets abordés.

Swap de Noël : demain, j’enlève le sac…

Et puis j’ai rencontré Spike. Spike, qui manque à beaucoup et qui est apparue sous nos regards ébahis divinement habillée d’un sari, ayant bravé le froid des rues et les regards étonnés des Parisiens pour la bonne cause. Cause qu’elle a gagnée haut la main.

De quoi a-t-on parlé ? La discussion n’a pas du tout été centrée sur les voyages, noooooon. Non plus que sur la passion que nous y mettons à les préparer, à les vivre, à les savourer au retour, à y apprendre le plus possible sur les autres mais aussi sur nous.

Un tout petit peu aussi sur la cuisine et les gastronomies locales, vraiment pas grand-chose, élément qui ne constitue absolument pas 80% de notre enthousiasme à voyager.

L’Inde aussi, qu’elle connaît et apprécie avec un regard si lucide que l’entendre en parler me fascine alors que j’y vis !

Spike enfin, qui a eu la bonté de me laisser manger TOUTES mes chouquettes sans m’en réclamer une seule : quelqu’un de bien donc !

Demain, j’enlève la boîte…

Pour finir, j’ai fait d’une pierre deux coups. D’un côté une rencontre prévue avec Océane, et de l’autre le swap de Noël organisé par Pivoine. Et comme il s’est avéré que ma binôme était Océane, nous sommes parvenues à trouver deux secondes au milieu d’un bavardage effréné pour faire notre échange de cadeaux.

Océane : celle-dont-le-nom-prononcé excite la gent masculine, celle qui fait frémir la blogosphère modeuse (et modique), celle dont enfin je rêve de visiter un jour le dressing à chaussures. Oui. Et je t’assure : elle est aussi enthousiaste et enthousiasmante que sa plume la révèle. Voire encore plus.

Je tairai ici les détails de cette réunion au sommet du PS 300 (pour « Paire de Shoes 300 ++», évidemment !) qui n’a pas du tout été émaillée de papoteries intenses et d’éclats de rire. Pôôôôô du tout. On en a même gagné des boissons gratuites !

Et le swap ? Et bien je dévoile devant tes yeux esbaudis une myriade de douceurs et de cadeaux : moi qui vient de me faire offrir une magnifique théière en fonte par Tac pour Noël, me voilà dotée de surcroît de thés choisis avec goût (je n’aime presque que le thé chinois : Océane ne pouvait mieux tomber !), d’un petit repose-sachet aux couleurs acidulées comme je les aime, des bonbons pétillants à foison (même des fraises Tagada qui pétillent !), une boule de Noël scintillante d’un blanc éclatant, un carnet et une carte qui rappellent Paris et les pâtisseries françaises à mon bon souvenir.

Et, enfin et surtout, des tablettes de chocolat. Oh, rien de bien affriolant… Juste du chocolat au caramel et à la fleur de sel. Du chocolat noir au thé Earl Grey. Aux pétales de rose cristallisées. Délicatement parsemé de piment d’Espelette aussi. Ce genre de choses que tu ne dévores pas du tout en deux secondes. Pôôôôôô du tout.

Un régal donc. Et si cela concerne les douceurs, je parle surtout de ces trois rencontres.

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